Exposition « La Grande Guerre dans le Loiret » au CDI

Exposition « La Grande Guerre dans le Loiret » au CDI

L’exposition « Le Loiret dans la Grande Guerre » a lieu au CDI du 10 octobre au 18 novembre. Elle a été définie après une réunion avec les professeurs d’histoire géographie et correspond au programme des troisièmes. Elle est à libre disposition.

Conçue par les archives départementales du Loiret, elle est centrée sur notre département. Visitée aussi bien par les élèves que par les professeurs, elle a pour thèmes principaux :

-Le deuil et la mémoire
-L’expérience des combattants
-Le département face à la guerre 

Des livres en rapport avec l’exposition sont proposés. Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez consulter le site des Archives du Loiret.
En bref, cette exposition a tout pour plaire que l’on soit passionné par ce thème, intéressé par l’histoire du Loiret ou juste de passage.

Article écrit par Lyséa J, membre de l’atelier médias

Les Mawem : Et pourquoi pas deux frères au sommet de l’Olympe pour la France ?

Les Mawem : Et pourquoi pas deux frères au sommet de l’Olympe pour la France ?

Deux élèves, de la classe « Médias » du Collège ont eu la chance de poser quelques questions à Mika et Bassa Mawem, tous les deux qualifiés pour la première olympiade d’escalade à Tokyo, du 23 juillet au 8 août 2021.

Les deux frères nous dévoilent leurs points forts, leurs points faibles, et leurs stratégies d’entraînement.

  • Quelles sont les trois disciplines d’escalade aux Jeux Olympiques et qu’elle est votre spécialité ?

Bassa- Les trois disciplines aux JO sont la vitesse, le bloc et la difficulté. Ma spécialité est la vitesse.

Mika- Le but de la vitesse c’est de grimper le plus vite possible. La plupart du temps nous sommes en duel côte à côte et c’est le premier à taper le buzzer en haut du parcours qui gagne. Le bloc c’est une discipline de force. C’est de l’escalade traditionnelle mais très courte et intense. Les murs font 5 mètres de hauteur environ et l’objectif est de monter en haut du bloc. Il y’a différents parcours et notre objectif est de le réussir. En général, on a 4 ou 5 parcours,  5 minutes par parcours, 5 minutes de pause et on passe au suivant. Pendant les 5 minutes on peut faire le nombre d’essais que nous voulons. Mais on ne peut pas se permettre d’en faire énormément, on doit être le plus efficace possible. La difficulté c’est une escalade de résistance parce que les voies sont longues. Une voie mesure entre  15 et 20 mètres de hauteur. On est sécurisé par des cordes et baudriers. Le jugement est fait sur celui qui arrive le plus haut. On nous propose des voies d’un niveau technique complexe. L’objectif est de trouver la solution pour monter en haut et d’avoir la force pour tenir le coup. Ma spécialité est le bloc.

  • Quand avez-vous commencé l’escalade ?

Bassa- J’ai commencé l’escalade à 15 ans à l’UNSS dans mon collège, j’ai beaucoup aimé et j’ai continué.

Mika- J’ai essayé l’escalade en CM2 pour la première fois. J’ai commencé en classe de sixième dans un club et à l’association sportive du Collège. J’en faisais 3 à 4 fois par semaine

  • Depuis quand êtes-vous en équipe de France ?

Mika- Je suis dans l’équipe de France depuis 2014. J’ai obtenu ma qualification lors d’une sélection en 2014 et  j’ai participé à ma première coupe du monde fin 2013.

Bassa- Je suis en équipe de France depuis 2012 et avant ça j’avais fait une étape de coupe du monde de bloc en 2006 et une étape en vitesse en 2007.

  • Quel est votre rythme d’entraînement depuis que vous êtes en équipe de France et depuis votre qualification aux JO ?

Mika- Notre rythme d’entrainement évolue constamment et il est propre à chacun.  Je me suis toujours entraîné entre 25 heures et 40heures par semaine et sur 4 à 6 jours par semaine. Depuis que je m’entraine pour les  JO, je suis passé à environ 40 heures minimum par semaine. Le lundi, mardi, jeudi et vendredi les entraînements sont très intenses. Le mercredi et le samedi je m’entraine une demi-journée.

Bassa- Depuis ma qualification aux JO, je m’entraîne environ 25 heures par semaine mais je fais en sorte que la vie de tous les jours soit mon entraînement (réaliser des tâches rapidement, prendre les escaliers etc. )

  • Quelles-sont les parties du corps et les muscles les plus sollicités en escalade ?

Bassa- Les avant-bras, les mains, et les doigts pour serrer les prises. Mais pour être performant il faut être complet et muscler toutes les parties du corps. Il faut faire attention à un point, c’est de ne pas prendre de poids. Nous devons prendre du muscle sans prendre trop de poids.

Mika- Cela dépend surtout des disciplines, en général, c’est surtout le haut du corps qui est très sollicité et les articulations. L’objectif est d’utiliser tous les muscles et articulations, du bout des orteils au bout des doigts, du bout des doigts au haut de la tête, pour alléger le haut du corps avec le bas, grâce au mouvement.

  • Comment s’entraîner en escalade pour trois disciplines différentes pour les JO ?

Bassa- Il faut s’entraîner encore plus car il faut intégrer des disciplines qui ne sont pas nos spécialités.

Mika- L’entraînement est différent pour chacune des disciplines. De plus, chaque entraîneur entraîne différemment et chaque athlète est différent. Pour ma part, on a fait le choix de mettre la priorité sur la discipline de bloc pour être très fort et sur la vitesse car j’ai de bonnes compétences. Pour la difficulté, on fait en sorte que je m’améliore sans m’entrainer énormément.

  • Comment être rapide, endurant et puissant à la fois ?

Bassa- Pour être rapide et puissant il faut être endurant. Si on prend l’exemple des sprinters qui courent 100 mètres, ils s’entraînent en courant de longues heures. Avant d’être puissant et rapide, il faut pouvoir encaisser de longs efforts.  Je fais donc beaucoup de voies de vitesse pour pouvoir avoir cette fluidité et de la puissance quand je dois aller vite.

  • En escalade, être léger semble être un atout mais est-ce qu’être très musclé peut-être un frein ?

Bassa- Être léger n’est pas un atout parce qu’à haut niveau personne n’est « léger ». Ce qu’il faut c’est avoir un bon rapport poids/puissance. Selon les disciplines, l’effort n’est pas le même mais quand on regarde bien, les grimpeurs ont tous des gabarits différents mais ils sont tous très forts. Par exemple, Jan Hojer pèse environ 77kg,  Mickael Mawem 66kg, Akiyo Noguchi 49kg et pourtant ils sont tous les trois très forts. Effectivement, au niveau amateur, plus ont est léger mieux ont tient les prises, car on exercera moins de force sur les prises d’escalade.

  • Est-ce qu’être très musclé n’est pas un frein pour la souplesse nécessaire en escalade ?

Bassa- Non, être musclé n’empêche pas d’être souple. En revanche ne pas être souple peut être un frein. Moi je ne suis pas souple et je sais que c’est un frein quand je fais du bloc ou de la difficulté. Pour la vitesse je n’en ai pas besoin, et je n’aime pas en faire, donc je n’en fais pas.

Mika- Être musclé et être souple en même temps ça se fait très bien. Il faut arriver à faire les deux en même temps. Il faut faire de la musculation et juste après des assouplissements. Il faut mixer les deux. Il y a des personnes extrêmement musclées qui sont très souples.

  • Comment gérez-vous la récupération ?

Bassa- Pour gérer la récupération, on mange, on dort et on s’hydrate bien (Là, il est 21h30. Je commence à stresser car je dois me lever à 5h15 pour m’entraîner.) On prend aussi des compléments alimentaires pour nous aider à récupérer, on va chez le kinésithérapeute, on a des petits appareils d’automassage, des électro-simulateurs etc.

  • Avez-vous un régime alimentaire particulier ? Y a t-il certains aliments que vous n’avez pas le droit de manger ou certains aliments qui vous sont conseillés ?

Mika -Les périodes ou on s’entraîne beaucoup il y a des très peu de compétition, c’est la période où on va bien se nourrir, prendre de bons petits-déjeuners complets avec des protéines, des féculents, et des laitages. Le midi on mange des féculents, légumes et des protéines. Le soir on mange léger. Pendant les périodes de compétitions, on mange avant et après les compétitions mais peu le soir. On réduit tout ce qui est sucre raffiné et  gras saturé afin d’être au meilleur de notre forme et au meilleur poids possible.

Entretien réalisé en mars 2020 par Marine Boudy et Manoha Arele de la classe « Médias », encadré par Mme De Barros.

Entretien retranscrit à l’écrit et rédigé en juin 2021 par Madison Auquière et Selène Boudier avec l’aide de Mme De Barros et Mr Pierre.

 

Pourquoi Noël dure et plaît autant aux petits qu’aux grands ?

Pourquoi Noël dure et plaît autant aux petits qu’aux grands ?

Noël ! Quelle grande fête ! Saviez vous vous qu’elle existait depuis l’époque des romains ? Aujourd’hui nous allons voir les 5 points qui expliquent pourquoi cette fête de Noel dure depuis l’Antiquité.
Juste avant, retournons au commencement : Noël, à l’époque inventée par les romains, est une fête chrétienne qui célèbre la naissance de Jésus de Nazareth fils de Dieu. La première célébration chrétienne a lieu le 25 décembre 336 à Rome.

Pour en savoir plus sur l’histoire « mouvante » de Noël, n’hésitez pas à consulter l’article du journal Slate  

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Noël dure pour tous les plaisirs et la joie d’être en famille. C’est une fête pleine de traditions qui fait remonter de très bons souvenirs ! (Mme Lamargot)

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Noël est une fête très bénéfique notamment pour les ventes de : Jouets, décorations, chansons (CD), livres et encore pour ses films.
Les marchés de Noël sont également bénéfiques et très appréciés par tous les adeptes de Noël.

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Noël fait partie des fêtes les plus gourmandes qui excitent tous les amateurs de bonne gastronomie. Notamment pour sa fameuse dinde au marrons, la buche de Noël ou encore pour ses petites pâtisseries comme les truffes au chocolat, les pains d’épices et les sablés.

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C’est une fête magnifique. Ses décorations sont incroyables autant dans les vitrines des magasins, que dans les rues.

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Noël est une fête traditionnelle, bénéfique, gourmande ou encore magnifique mais elle est surtout magique car le secret de Noël est bien-sûr le fait de pouvoir s’arrêter ne serait-ce qu’un petit instant pour se dire que les enfants de la terre sont heureux et que les adultes le sont aussi.

Louanne

Le délice à la mousse au chocolat

Le délice à la mousse au chocolat

Bonjour, aujourd’hui, nous allons faire une buche de Noël à la mousse au chocolat. J’ai déjà réalisé cette recette et j’ai adoré.

Pour cette recette, il nous faut donc :

Pour le biscuit : 140 g de sucre, 150g de farine, 3 œufs, 1 demi citron, 1 demi paquet  de levure, 1 paquet de sucre vanillé, et 1,5 cl de liqueur de fruit.

Pour la mousse au chocolat : 100g de chocolat et 3 œufs.

Pour le nappage : 120g de beurre doux, 100g de sucre glace, 1oeuf, 2 cuillères de café (café soluble) et 2 cuillères de soupe de liqueur de fruit pour le parfum.

Pour les ustensiles : 1 fouet, 1 four, 1 casserole, 1 spatule, 1 couvercle et un réfrigérateur.

Maintenant place à la préparation.

Etape 1 : pour le biscuit, battre le sucre et les jaunes d’œufs jusqu’à blanchissement puis ajouter le jus de citron.

Etape 2 : Ajouter la levure, une pincée de sel, le sucre vanillé, la farine et les blancs battus en neige.

Etape 3 : Huiler une plaque à biscuit et couler la pâte dessus.

Etape 4 : Cuire au four (thermostat 7/210°C) pendant 10 petites minutes sur la partie supérieure du four. Puis faire refroidir le biscuit sur sa plaque.

Etape 5 : pour la mousse au chocolat, faire fondre le chocolat au bain-marie.

Etape 6 : Casser les œufs en séparant les jaunes des blancs.

Etape 7 : Ajouter une pincée de sel aux blancs et les battre en neige.

Etape 8 : Verser peu à peu le chocolat fondu sur les jaunes en remuant énergiquement.

Etape 9 : Incorporer les blancs avec une spatule.

Etape 10 : Mettre la préparation au réfrigérateur.  Une fois le biscuit refroidi, le démouler sur un torchon, qui aura été lavé sans adoucissant pour ne pas donner l’odeur au gâteau. Etape 11 : Découper la croûte du dessus du biscuit. Diluer la liqueur dans 3 cl

Etape 12 : Tartiner alors le biscuit avec la mousse au chocolat.

Etape 13 : Ensuite rouler très délicatement le biscuit tartiné et envelopper le tout dans le torchon. Déposer la préparation au réfrigérateur pendant au moins 2 ou 3 heures pour que la mousse soit bien prise.

Etape 14 : Pour la crème au beurre, faire mousser le beurre et le sucre glace, ajouter l’œuf puis le café (dilué dans un fond d’eau) et la  liqueur de fruit.

Etape 15 : recouvrir le biscuit roulé sorti du torchon de la crème au beurre. Passer la buche au réfrigérateur toute une nuit.

Je vous souhaite un Joyeux Noël et une bonne dégustation si vous avez décidé de faire cette recette. 

 Léna

Les « pourquoi » de Noël

Les « pourquoi » de Noël

Nous allons vous présenter quelques infos autour Noël, et démontrer que certains clichés sont faux.

 Noël a deux significations différentes, une religieuse qui correspond à la naissance de Jésus Chris, et une culturelle. Pour les athées, en effet, Noël est une fête sans raison particulière, sans doute commerciale car il nous incite à acheter des cadeaux, des décorations et de quoi remplir la table de Noël (avec la nourriture délicieuse qu’on mange à ce moment-là !).

D’où vient le sapin ?

Boniface, un moine voulant prouver à la population que le chêne n’était pas un arbre sacré, décida d’en abattre un. « En tombant, l’arbre écrasa tout se trouvant sur son passage à l‘exception d’un jeune sapin. » Puis dans son hystérie, il a déclaré « Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’enfant Jésus. » On l’a mentionné « arbre de Noël » pour la première fois en Alsace. Il était décoré de pommes, confiseries et des gâteaux. Ce sont les protestants en 1560 qui développèrent la tradition pour se démarquer des catholiques qui n’adhéraient pas à leurs pratiques religieuses.

Pourquoi le père Noël est-il rouge ?

A l’origine, le père Noel est une personnification athée du père Nicolas. Le personnage rassurant et gentil du père Noël est vite exploité dans le monde de la publicité. De grandes marques telles que Coca Cola n’ont pas hésité à s’en inspirer.  En 1931, cette marque de boissons prend le Père Noel comme la vedette de ses campagnes publicitaires. Cette contribution apporte de changements considérables au niveau de l’allure vestimentaire du personnage. Les robes religieuses longues sont en effet désormais délaissées au profit des pantalons, ainsi que des bottes. À partir de là, le Père Noël est devenu un personnage plus jovial et plus chaleureux. Si les habits rouges sont de plus en plus éclatants et plus vifs, c’est justement pour témoigner la joie de vivre avec les produits de Coca Cola. Cette nouvelle représentation du Père Noel s’impose en Europe, notamment en France dès les années 1950, puis dans l’hémisphère sud.

Et voila, vous, pouvez maintenant vous vantez d’être devenu un as des légendes de Noël !

 

                                                                                                                                                                                            Laura et Clément