collecte pour les restos du coeur

collecte pour les restos du coeur

Le collège Gutenberg organise une collecte au profit de l’association « les restos du cœur » du :                                                                                                  

                                                           02 avril au 12 avril 2024.

Si vous le souhaitez, vous pouvez participer à cette collecte en déposant votre don au collège de 8h00 à 17h00.

Cette opération est en lien avec le projet 2024 « Chanter pour les restos du cœur », la Chorale de l’établissement.

S’engager aux côtés des restos du cœur, c’est permettre à l’association de continuer à bénéficier de soutien tout au long de l’année pour assurer ses missions sociales d’aide à la personne.

Aujourd’hui plus que jamais, la recherche de ressources complémentaires est devenue une priorité. (voir https://www.restosducoeur.org/)
Nous vous remercions par avance pour votre participation et de votre soutien éducatif à nos côtés.

Installation de l’apsicope

Installation de l’apsicope

Après avoir obtenu de nombreux votes pour le « budget participatif des collégiens » en juin 2020, le Conseil Départemental a contribué au financement de projets afin de renforcer l’éducation à l’environnement et au développement durable (E3D) au collège Gutenberg. Madame Laporte avait lancé cet appel à projet avec les élèves du club développement durable.

Ce mardi 28 septembre , un apiscope  a été installé au CDI par Jean-Pierre Martin, de l’association Abeilles Etc, apiculteur amateur et enseignant en mesures physiques à Bourges. Il s’agit d’une ruche pédagogique transparente, grâce à laquelle on peut observer les abeilles. La ruche est reliée à l’extérieur grâce à un tuyau transparent, dans lequel les abeilles se sont engouffrées sitôt libérées. L’apiscope permet d’utiliser les abeilles comme support d’activités pédagogiques dans les différentes matières enseignées au Collège. Les élèves peuvent venir découvrir le fonctionnement de cette ruche lors de leurs heures au CDI.

 

Article de Madame DE BARROS et Madame LAMARGOT

 

Les Mawem : Et pourquoi pas deux frères au sommet de l’Olympe pour la France ?

Les Mawem : Et pourquoi pas deux frères au sommet de l’Olympe pour la France ?

Deux élèves, de la classe « Médias » du Collège ont eu la chance de poser quelques questions à Mika et Bassa Mawem, tous les deux qualifiés pour la première olympiade d’escalade à Tokyo, du 23 juillet au 8 août 2021.

Les deux frères nous dévoilent leurs points forts, leurs points faibles, et leurs stratégies d’entraînement.

  • Quelles sont les trois disciplines d’escalade aux Jeux Olympiques et qu’elle est votre spécialité ?

Bassa- Les trois disciplines aux JO sont la vitesse, le bloc et la difficulté. Ma spécialité est la vitesse.

Mika- Le but de la vitesse c’est de grimper le plus vite possible. La plupart du temps nous sommes en duel côte à côte et c’est le premier à taper le buzzer en haut du parcours qui gagne. Le bloc c’est une discipline de force. C’est de l’escalade traditionnelle mais très courte et intense. Les murs font 5 mètres de hauteur environ et l’objectif est de monter en haut du bloc. Il y’a différents parcours et notre objectif est de le réussir. En général, on a 4 ou 5 parcours,  5 minutes par parcours, 5 minutes de pause et on passe au suivant. Pendant les 5 minutes on peut faire le nombre d’essais que nous voulons. Mais on ne peut pas se permettre d’en faire énormément, on doit être le plus efficace possible. La difficulté c’est une escalade de résistance parce que les voies sont longues. Une voie mesure entre  15 et 20 mètres de hauteur. On est sécurisé par des cordes et baudriers. Le jugement est fait sur celui qui arrive le plus haut. On nous propose des voies d’un niveau technique complexe. L’objectif est de trouver la solution pour monter en haut et d’avoir la force pour tenir le coup. Ma spécialité est le bloc.

  • Quand avez-vous commencé l’escalade ?

Bassa- J’ai commencé l’escalade à 15 ans à l’UNSS dans mon collège, j’ai beaucoup aimé et j’ai continué.

Mika- J’ai essayé l’escalade en CM2 pour la première fois. J’ai commencé en classe de sixième dans un club et à l’association sportive du Collège. J’en faisais 3 à 4 fois par semaine

  • Depuis quand êtes-vous en équipe de France ?

Mika- Je suis dans l’équipe de France depuis 2014. J’ai obtenu ma qualification lors d’une sélection en 2014 et  j’ai participé à ma première coupe du monde fin 2013.

Bassa- Je suis en équipe de France depuis 2012 et avant ça j’avais fait une étape de coupe du monde de bloc en 2006 et une étape en vitesse en 2007.

  • Quel est votre rythme d’entraînement depuis que vous êtes en équipe de France et depuis votre qualification aux JO ?

Mika- Notre rythme d’entrainement évolue constamment et il est propre à chacun.  Je me suis toujours entraîné entre 25 heures et 40heures par semaine et sur 4 à 6 jours par semaine. Depuis que je m’entraine pour les  JO, je suis passé à environ 40 heures minimum par semaine. Le lundi, mardi, jeudi et vendredi les entraînements sont très intenses. Le mercredi et le samedi je m’entraine une demi-journée.

Bassa- Depuis ma qualification aux JO, je m’entraîne environ 25 heures par semaine mais je fais en sorte que la vie de tous les jours soit mon entraînement (réaliser des tâches rapidement, prendre les escaliers etc. )

  • Quelles-sont les parties du corps et les muscles les plus sollicités en escalade ?

Bassa- Les avant-bras, les mains, et les doigts pour serrer les prises. Mais pour être performant il faut être complet et muscler toutes les parties du corps. Il faut faire attention à un point, c’est de ne pas prendre de poids. Nous devons prendre du muscle sans prendre trop de poids.

Mika- Cela dépend surtout des disciplines, en général, c’est surtout le haut du corps qui est très sollicité et les articulations. L’objectif est d’utiliser tous les muscles et articulations, du bout des orteils au bout des doigts, du bout des doigts au haut de la tête, pour alléger le haut du corps avec le bas, grâce au mouvement.

  • Comment s’entraîner en escalade pour trois disciplines différentes pour les JO ?

Bassa- Il faut s’entraîner encore plus car il faut intégrer des disciplines qui ne sont pas nos spécialités.

Mika- L’entraînement est différent pour chacune des disciplines. De plus, chaque entraîneur entraîne différemment et chaque athlète est différent. Pour ma part, on a fait le choix de mettre la priorité sur la discipline de bloc pour être très fort et sur la vitesse car j’ai de bonnes compétences. Pour la difficulté, on fait en sorte que je m’améliore sans m’entrainer énormément.

  • Comment être rapide, endurant et puissant à la fois ?

Bassa- Pour être rapide et puissant il faut être endurant. Si on prend l’exemple des sprinters qui courent 100 mètres, ils s’entraînent en courant de longues heures. Avant d’être puissant et rapide, il faut pouvoir encaisser de longs efforts.  Je fais donc beaucoup de voies de vitesse pour pouvoir avoir cette fluidité et de la puissance quand je dois aller vite.

  • En escalade, être léger semble être un atout mais est-ce qu’être très musclé peut-être un frein ?

Bassa- Être léger n’est pas un atout parce qu’à haut niveau personne n’est « léger ». Ce qu’il faut c’est avoir un bon rapport poids/puissance. Selon les disciplines, l’effort n’est pas le même mais quand on regarde bien, les grimpeurs ont tous des gabarits différents mais ils sont tous très forts. Par exemple, Jan Hojer pèse environ 77kg,  Mickael Mawem 66kg, Akiyo Noguchi 49kg et pourtant ils sont tous les trois très forts. Effectivement, au niveau amateur, plus ont est léger mieux ont tient les prises, car on exercera moins de force sur les prises d’escalade.

  • Est-ce qu’être très musclé n’est pas un frein pour la souplesse nécessaire en escalade ?

Bassa- Non, être musclé n’empêche pas d’être souple. En revanche ne pas être souple peut être un frein. Moi je ne suis pas souple et je sais que c’est un frein quand je fais du bloc ou de la difficulté. Pour la vitesse je n’en ai pas besoin, et je n’aime pas en faire, donc je n’en fais pas.

Mika- Être musclé et être souple en même temps ça se fait très bien. Il faut arriver à faire les deux en même temps. Il faut faire de la musculation et juste après des assouplissements. Il faut mixer les deux. Il y a des personnes extrêmement musclées qui sont très souples.

  • Comment gérez-vous la récupération ?

Bassa- Pour gérer la récupération, on mange, on dort et on s’hydrate bien (Là, il est 21h30. Je commence à stresser car je dois me lever à 5h15 pour m’entraîner.) On prend aussi des compléments alimentaires pour nous aider à récupérer, on va chez le kinésithérapeute, on a des petits appareils d’automassage, des électro-simulateurs etc.

  • Avez-vous un régime alimentaire particulier ? Y a t-il certains aliments que vous n’avez pas le droit de manger ou certains aliments qui vous sont conseillés ?

Mika -Les périodes ou on s’entraîne beaucoup il y a des très peu de compétition, c’est la période où on va bien se nourrir, prendre de bons petits-déjeuners complets avec des protéines, des féculents, et des laitages. Le midi on mange des féculents, légumes et des protéines. Le soir on mange léger. Pendant les périodes de compétitions, on mange avant et après les compétitions mais peu le soir. On réduit tout ce qui est sucre raffiné et  gras saturé afin d’être au meilleur de notre forme et au meilleur poids possible.

Entretien réalisé en mars 2020 par Marine Boudy et Manoha Arele de la classe « Médias », encadré par Mme De Barros.

Entretien retranscrit à l’écrit et rédigé en juin 2021 par Madison Auquière et Selène Boudier avec l’aide de Mme De Barros et Mr Pierre.

 

Intervention UNICEF auprès des 6èmes

Intervention UNICEF auprès des 6èmes

Ce mardi 19 novembre 2019 les élèves de toutes les classes de 6ème ont pu rencontrer des bénévoles membres de l’UNICEF. La rencontre s’est faite en salle polyvalente avec la projection d’un diaporama avec des informations importantes sur ce qu’est l’UNICEF.
Cette intervention permet aux élèves d’être face à la réalité dans le monde et de prendre conscience que la vie d’enfant n’est pas la même pour tous dans le monde.
L’axe principal développer lors de l’intervention était le travail des enfants mais l’UNICEF peut également intervenir sur d’autres thèmes :
– L’accès à l’eau
– L’éducation
– La nutrition
– La vaccination …
Cette action s’est déroulée ce jour au collège car ce sont justement les 30 ans de la CIDE (Convention des Droits de l’Enfant) cette même semaine. Leur but est ainsi d’informer et de sensibiliser dans différents établissements du département.
Les intervenants ont questionné les élèves : Savez-vous combien sont morts dans le monde pendant l’heure où nous sommes ensembles ? 1200 enfants…

Le travail des enfants : fabriquer des briques, ramassages de déchets… Des métiers dangereux, épuisants, répétitifs, longs et difficiles. De plus, ils sont très peu ou pas payer (un bol de riz). Ces enfants ne connaissent ni les jours de repos ni les vacances et sont par ailleurs privés de leur scolarité.

Les élèves avaient un polycopié a remplir, ils étaient attentifs et posaient des questions. Ils ont découvert la vie complètement différente d’enfants de leur âge, qui eux n’ont pas d’enfance comme elle est définie.

Nous tenons à remercier les intervenants de l’UNICEF : Jany Porcher, responsable de l’antenne 45 et Eric Brulet pour leurs actions.
Pause méridienne : les devoirs faits commencent !

Pause méridienne : les devoirs faits commencent !

Pendant la pause méridienne, la salle de permanence ouvre ses portes aux élèves pour venir faire leurs devoirs. Ils sont encadrés par un ou plusieurs professeurs (selon le nombre d’élèves) et de l’assistante pédagogique. Ils sont aidés et accompagnés dans la réalisation des devoirs. C’est aussi un endroit calme où l’élève peut faire ses devoirs en toute autonomie.

Les devoirs faits sont ouverts à tous sur la base d’une inscription auprès de la vie scolaire. Ils se déroulent dans la salle C01 à partir de 13h05. Les élèvent inscrits peuvent passer prioritaires à la cantine.

La salle est équipée d’ordinateurs et possède quelques manuels scolaires.

Pour plus d’informations, s’adresser à la vie scolaire ou auprès de Noémie.