Le délice à la mousse au chocolat

Le délice à la mousse au chocolat

Bonjour, aujourd’hui, nous allons faire une buche de Noël à la mousse au chocolat. J’ai déjà réalisé cette recette et j’ai adoré.

Pour cette recette, il nous faut donc :

Pour le biscuit : 140 g de sucre, 150g de farine, 3 œufs, 1 demi citron, 1 demi paquet  de levure, 1 paquet de sucre vanillé, et 1,5 cl de liqueur de fruit.

Pour la mousse au chocolat : 100g de chocolat et 3 œufs.

Pour le nappage : 120g de beurre doux, 100g de sucre glace, 1oeuf, 2 cuillères de café (café soluble) et 2 cuillères de soupe de liqueur de fruit pour le parfum.

Pour les ustensiles : 1 fouet, 1 four, 1 casserole, 1 spatule, 1 couvercle et un réfrigérateur.

Maintenant place à la préparation.

Etape 1 : pour le biscuit, battre le sucre et les jaunes d’œufs jusqu’à blanchissement puis ajouter le jus de citron.

Etape 2 : Ajouter la levure, une pincée de sel, le sucre vanillé, la farine et les blancs battus en neige.

Etape 3 : Huiler une plaque à biscuit et couler la pâte dessus.

Etape 4 : Cuire au four (thermostat 7/210°C) pendant 10 petites minutes sur la partie supérieure du four. Puis faire refroidir le biscuit sur sa plaque.

Etape 5 : pour la mousse au chocolat, faire fondre le chocolat au bain-marie.

Etape 6 : Casser les œufs en séparant les jaunes des blancs.

Etape 7 : Ajouter une pincée de sel aux blancs et les battre en neige.

Etape 8 : Verser peu à peu le chocolat fondu sur les jaunes en remuant énergiquement.

Etape 9 : Incorporer les blancs avec une spatule.

Etape 10 : Mettre la préparation au réfrigérateur.  Une fois le biscuit refroidi, le démouler sur un torchon, qui aura été lavé sans adoucissant pour ne pas donner l’odeur au gâteau. Etape 11 : Découper la croûte du dessus du biscuit. Diluer la liqueur dans 3 cl

Etape 12 : Tartiner alors le biscuit avec la mousse au chocolat.

Etape 13 : Ensuite rouler très délicatement le biscuit tartiné et envelopper le tout dans le torchon. Déposer la préparation au réfrigérateur pendant au moins 2 ou 3 heures pour que la mousse soit bien prise.

Etape 14 : Pour la crème au beurre, faire mousser le beurre et le sucre glace, ajouter l’œuf puis le café (dilué dans un fond d’eau) et la  liqueur de fruit.

Etape 15 : recouvrir le biscuit roulé sorti du torchon de la crème au beurre. Passer la buche au réfrigérateur toute une nuit.

Je vous souhaite un Joyeux Noël et une bonne dégustation si vous avez décidé de faire cette recette. 

 Léna

Faut il protéger les loups ?

Faut il protéger les loups ?

J’ai choisi d’écrire cet article car cela me tient à cœur de montrer que les loups ne sont pas forcément, ce que l’on prétend, des êtres uniquement malveillants.  Le retour naturel du loup est soutenu par des associations comme FÉRUS (Association nationale pour la défense et la sauvegarde des grands prédateurs) ou le WWF (de l’anglais : World Wildlife Fund) ; et combattu par les éleveurs.

Quel est le point de vue des éleveurs ?

Les éleveurs sont notamment en colère contre le retour du loup, car les loups sont des carnivores qui peuvent s’attaquer aux troupeaux d’élevage en montagne de moutons ou de chèvres (ce qu’on appelle les ovins).

Les éleveurs se mobilisent de plus en plus contre le plan national consacré aux loups en France, en réalisant par exemple des manifestations comme à Lyon en janvier 2019. Ils craignent les « massacres » réalisés par les loups. En 2017, selon Libération, plus de 9 000 bêtes, surtout des ovins (chèvres, moutons) ont en effet été tuées par le loup en France en 2015, sur un ensemble de 8 millions de bêtes.

Pour répondre à ces attaques de loups, l’Etat autorise chaque année un certain nombre d’abattements légaux de loups, malgré le statut de protection de l’espèce. En 2016, le plafond de 34 autorisations de tuer un loup a été relevé à 40. Cela n’a pas plu aux associations environnementales. 

Selon Ludovic Rouvière éleveur en Lozère : « Pour moi, le constat est sans appel : la croissance du nombre de loups est incompatible avec l’élevage en plein air de moutons et de bovins. Elle rend impossible la pâture de ces animaux durant plusieurs mois de l’année. Le risque est trop grand, vu le nombre d’animaux – près de 9000 ! – tués par des loups. »

Quel est le point de vue des associations environnementales ?

Le loup est une espèce protégée car on l’a exterminé dans la seconde moitié du 19e siècle en Europe et en Amérique du Nord. Son espèce était éteinte en France. Selon Férus, le retour officiel du loup en France date de 1992. Depuis l’Italie, l’espèce a rejoint naturellement la France. L’espèce est encore vulnérable, sensible au braconnage et aux tirs autorisés par l’État français.

Le loup est un animal plutôt discret et craintif ; il n’attaque pas l’homme. Le loup est en effet un carnivore qui adapte son régime alimentaire selon la région où il vit ou la saison : il peut manger différents types d’animaux comme des chamois, des cerfs, des mulots, des lièvres, des moutons, etc.

Il y a environ 530 loups en France. Le WWF développe des programmes et mène une campagne de sensibilisation pour le loup. Le WWF et FÉRUS recherchent des solutions pour atténuer le conflit Homme-loup, en contribuant à faire aimer et apprécier cet animal.

Selon Jean-Marc Landry biologiste, éthologue, spécialiste du loup : « Sincèrement, je crois qu’il est possible que le pastoralisme, inscrit depuis si longtemps dans notre culture et essentiel pour le maintien de la biodiversité, cohabite avec le loup. Ce dernier est notamment le régulateur de la présence des grands ongulés dans les milieux forestiers et un ambassadeur de toutes les autres espèces à protéger d’urgence. »

 

Quelques associations environnementales essaient de réintégrer  le loup. Je pense que le loup serait bénéfique pour l’environnement comme dans le parc de Yellowstone aux USA. Le loup n’est pas dangereux pour l’Homme, depuis des générations les hommes ont toujours eu peur du loup car avant ils s’attaquaient aux troupeaux. Pour nous, les hommes sont bien plus sombres que ces êtres bienveillants, ils peuvent faire des amalgames.  

Ilona et Naomi